Paris, le 16 novembre 2015
J’étais à Damas vendredi soir avec une importante délégation française composée notamment de cinq députés courageux et de quelques représentants non moins courageux de la « société civile », tous concernés par la situation de la Syrie aux avant-postes de la guerre contre « l’état islamique », quand est tombée la cascade de nouvelles tragiques nous parvenant de Paris où « Daech » venait de déclencher une suite d’attentats terroristes sans précédent contre la France et le peuple français.
Cette attaque terroriste, nous savions tous qu’elle aurait lieu mais nous n’en connaissions bien sûr ni l’heure ni le lieu, ni la forme ni l’ampleur qu’elle prendrait.
Le lendemain matin, la délégation française qui était arrivée en Syrie le mercredi précédent afin de s’informer sur le terrain de la situation, notamment celle des minorités chrétiennes, a été reçue dans un climat de grande franchise par le Président Bachar El Assad en personne.
Cette attaque terroriste, nous savions tous qu’elle aurait lieu mais nous n’en connaissions bien sûr ni l’heure ni le lieu, ni la forme ni l’ampleur qu’elle prendrait.
Le lendemain matin, la délégation française qui était arrivée en Syrie le mercredi précédent afin de s’informer sur le terrain de la situation, notamment celle des minorités chrétiennes, a été reçue dans un climat de grande franchise par le Président Bachar El Assad en personne.